Soussa forme liquide, vous pourrez avoir recours à une ganache au chocolat pour réaliser le glaçage d'un gâteau, garnir une 95Gde ganache au chocolat (Chocolat noir,crème fraîche,beurre), 3 Jaunes d'oeufs, 1 Cas de farine, 1 Cas de pâte de speculoos Préparation: Faire Préparervotre ganache kinder bueno. Base de ganache chocolat kinder : - 240 gr de chocolat kinder - 100 gr de crème fraiche liquide (j'ai pris de la épaisse d'isigny vendue en grande surface dans les pots en verre de 40 cl) - 20 gr de beurre. J'ai donc multiplié cette quantité par 3. Faire fondre doucement la crème et le beurre. cash. 25 Août Critique du restaurant Beau Mont la franchise sans artifice qui fait du bien J’y suis allé une première fois en 2019 lors d’une chaude soirée d’été, quelques mois à peine après l’ouverture de cette grande addition dans la famille Toqué. Je me souviens avoir été impressionné par la simplicité du menu — à un moment où tous les chefs semblaient pousser l’audace avec des techniques modernes » et des saveurs funky. Mais, sachant que la valorisation de petits producteurs locaux est la plus grande bataille du chef Normand Laprise depuis de nombreuses années, tout prenait son sens. De retour au présent, quasiment exactement trois ans après cettedite visite, les souvenirs refont surface ; et le constat reste le même. Ici, au restaurant Beau Mont, la qualité des produits est mise de l’avant. Aucun artifice ne vient camoufler un infime manque de fraîcheur, une lacune côté assaisonnements, ou une imperfection des techniques. Une prise de partie tout à fait honorable pour le meilleur et pour le pire. Au Beau Mont, les plats principaux et les accompagnements sont commandés séparément Le Beau Mont se veut en quelque sorte le juste mi-chemin entre la grande table gastronomique du Toqué!, puis les décontractées Brasseries T. On comprend que la qualité des produits reste même, tout comme le service, digne du groupe Toqué professionnel, efficace, mais surtout, agréable. Ce fut d’ailleurs un point fort de la soirée Douce soirée en terrasse Laissant carte blanche à notre sympathique serveur sur le choix des cocktails, Le Melon de Montréal et le Bain Mathieu ne peuvent tomber à point et nous fait qu’approuver la décision de passer notre soirée sur la coquette terrasse. La douceur du premier, dont l’amertume du Suze apéritif à base de gentiane est justement balancée avec la douceur vanillée de la Tequila Cazadores et du jus de cantaloup, est l’absolu contraste du second, où l’acidité du shrub de fraise vinaigre sucré de fraises additionné au jus de citron vient titiller les papilles à la limite du grimaçage. Une chose est certaine, c’est que ça met en appétit ! Le duo d’entrées de la soirée me laisse mi-figue mi-raisin. D’un côté, j’ai l’onctuosité de la crème de maïs, surmontée d’une généreuse quantité de crevettes nordiques 21$. En additionnant les bouchées à la cuillère SVP, on additionne le niveau de plaisir et de surprises un granité de consommé de crevettes qui surprend, un coulis de la réduction du même consommé – celui-ci infusé à la fève tonka qui charme, puis un party de textures et de fraîcheur avec la salicorne, la brunoise de céleri et les fines lanières de radis. Je suis tout de même resté surpris de ne pas avoir retrouvé le maïs à son état brut ! Crevettes et maïs bien joué ! C’est plutôt le manque de cohésion du second plat qui me laisse froid, mettant en valeur le crabe de roche 24$ d’ici faisant son arrivée au Québec pour la première fois grâce au collectif La Table Ronde. La précieuse chair du crustacé est malheureusement encombrée par une présence trop marquée de bok choy cru. Les traits de vinaigrette au miel fermenté au fond de l’assiette sont loin d’ajouter la gourmandise nécessaire, ainsi que la rondeur pour venir supporter et magnifier la délicate chair sucrée du crabe. Exactement le même plat mais omettant le vulgaire bok choy cru aurait simplement été parfait ! Le crabe de roche malheureusement empiété par le bok choy L’audacieuse simplicité pour le meilleur et pour le pire Lorsque je parlais de l’audacieuse simplicité en début de texte, nous y sommes. Au Beau Mont, les plats principaux sont épurés. Si on les retrouve uniquement rehaussés d’une garniture et d’une sauce, on se rabat sur les à-côtés » pour compléter. Les fameuses frites de M. Laprise et le céleri-rave cuit sur broche façon kébab nous font de l’œil, mais difficile de ne pas fermer la porte aux magnifiques légumes de saison simplement sautés au beurre 16$, ainsi qu’une poêlée de champignons 18$. D’ailleurs, cette dernière avait tout pour faire rêver avec les premières chanterelles et champignons homards, mais est légèrement tombée à plat par un manque de gourmandise lire ici beurre, ou un petit jus de déglaçage pour venir humecter les fongus, ceux-ci très secs. Dommage. En résistance donc, une pintade trois façons 38$ accompagnées de son jus bien sapide et d’un kimchi, puis d’un exceptionnel pavé de morue 44$ au beurre blanc tranchant à la monarde et asperge blanche parfaitement al dente. Parlons-en longtemps, de cette morue. Floconneuse, fondante, juteuse… dont la juste acidité du beurre blanc nous rend incapables de déposer la fourchette. Divin ! Sublime morue et asperge blanche La pintade dévoile un joli travail technique en la déclinant de trois manières la poitrine rôtie sur coffre laissant une peau bien croustillante, les hauts de cuisse juteux à souhait confits au gras de canard, puis les pilons transformés en une excellente saucisse chipolata. Malgré la poitrine un brin trop cuite, le plaisir à déguster l’assiette est bel et bien présent, notamment avec le kimchi de chou nappa en guise de rinçage de palais. Au dessert, après une description exhaustive des choix par notre serveur Guillaume, on nous amène la riche ganache au chocolat 15$ avec sa crème glacée également au chocolat, accompagné d’un crémeux au caramel et de graines de moutardes marinées. Que c’est copieux ! Par chance, le sandwich à la crème glacée 15$ avec une aérienne mousse à la framboise vient revigorer les papilles. Pintade trois façons avec une garniture de kimchi qui me laisse perplexe Il faut dire la vérité, le Beau Mont est l’antithèse » des nouveaux restaurants trendy et instagrammables où parfois je dis bien parfois, les lacunes autant au service que dans l’assiette sont cachées par nombreux artifices. On n’y va pas pour être vu – mais davantage pour une soirée tranquille en tête à tête ou entre amis. Si vous repartez à minuit, ce ne sera pas suite à un service interminable ; mais plutôt parce que vous vous entendrez parler et que vous êtes bien mitonné par vos hôtes. On n’y va non plus pour être surpris avec des saveurs audacieuses et des vins qui donnent des ulcères on est dans le classicisme moderne. Un autre avis personnel pour une personne qui sort très souvent au restaurant et qui est à 100% dans l’ère Instagram », j’ai trouvé, lors de ma soirée au Beau Mont, un certain retour aux sources qui m’a drôlement fait du bien. Un genre de retour à l’époque d’avant faisons le pour les réseaux sociaux », allant du design jusqu’aux éléments superflus et parfois ingrats dans l’assiette, uniquement pour attirer les vues. Le Beau Mont représente l’art de la restauration chic-moderne. Je suis aussi d’avis que ce style de restaurant n’est pas toujours ce dont nous avons envie. Mais, une chose est certaine qui n’a pas envie de se faire dorloter les papilles avec des plats qui sont loin de nous faire sortir de notre zone de confort, des vins droits, raisonnés et judicieusement accordé et un service digne d’un étoilé ? L'agréable terrasse du Beau Mont Comptoir-épicerie signé Toqué On peut aussi profiter de la médecine du Toqué à la maison, avec le Comptoir-épicerie situé à même le restaurant Beau Mont. Plats prêts-à-manger, menu de la semaine, légumes frais, ainsi que produits maison et plusieurs autres d’artisans locaux sont à l’honneur. Le comptoir est ouvert du mardi au dimanche à partir de 13h. beau_mont_restaurant Beau Mont 950 avenue Beaumont, suite 102, Montréal Aux commandes de la cuisine Jean-François Dubé On s’en tire pour combien Avec un ou deux verres, comptez au moins 100$ par personne On y va quand du mardi au samedi, à partir de 17h30 Publié le , mis à jour le 10 idées pour utiliser le plus doux des produits laitiers, la crème fraîche. Du beurre maison Il ne faut pas trop battre la crème quand on prépare de la chantilly, sous peine de voir celle-ci se transformer en beurre ? Qu’à cela ne tienne ! Il suffit d’une bonne crème entière, d’un pot de confiture vide et d »huile de coude pour confectionner du beurre maison. Un expérience passionnante à mener avec les scientifiques en herbe. Des œufs cocotte Bluffants, faciles et rapides à préparer, ils sont parfaits pour les soirs pressés. Une cuillère à soupe de crème dans un ramequin beurré, du fromage râpé, un œuf, du sel et du poivre, une cuisson au bain-marie, c’est prêt. À customiser avec du saumon fumé, du foie gras, des restes de ratatouille, des herbes ciselées… selon les goûts et les saisons. Une tarte salée ou une quiche Aux légumes, au poisson, aux lardons ou au fromage, la tarte salée ne serait pas complète sans la migaine », mélange d’œufs et de crème fraîche 20 à 30 cl de crème pour 3 ou 4 œufs qui permet d’obtenir une tarte épaisse, à la texture bien prise. Un gratin Une préparation tout-terrain qui permet de cuisiner à l’avance et de recycler les restes. Particulièrement à l’aise avec des légumes et une touche de fromage, la crème fraîche est aussi un ingrédient-clé pour préparer de délicieux gratins de fruits. Quant au gratin dauphinois, les cuisiniers les plus gourmands le préparent non pas avec du lait, mais de la crème fraîche ! Un plat en sauce Très présente dans la cuisine française, la crème fraîche résiste bien à la cuisson et se retrouve dans de nombreux plats en sauce. Le plus emblématique la blanquette de veau. Pour un voyage exotique, la crème apporte à un curry de dinde, de porc ou de poisson une touche de douceur qui contraste merveilleusement avec la force des épices. Une bolognaise Oui, vous avez bien lu ! Lait et crème fraîche sont les secrets de la plus célèbre sauce italienne. La recette officiellement déposée de l’Accademia Italiana della Cucina Académie italienne de la cuisine préconise en effet de préparer la sauce du lait entier, puis de terminer par l’ajout de crème fraîche pour apporter un supplément de douceur et d’onctuosité. Des crèmes brûlées De la crème, des jaunes d’œufs, du sucre et de la vanille, des ingrédients basiques pour l’un des desserts préférés des Français. À caraméliser au dernier moment pour que le croquant du caramel contraste parfaitement avec l’onctuosité de la crème parfumée. Une ganache au chocolat Mélange traditionnel de chocolat et de crème fraîche, la ganache s’utilise pour confectionner des truffes, des macarons, des tartes, des petits pots de crème ou des glaçages oh, les jolis cupcakes !. Un basique incontournable. Un cocktail crémeux Insolite mais bienfaisante, la crème fraîche apporte une touche d’onctuosité et de modernité aux cocktails. À tester dans vos shakers le cocktail Arengy, au bon goût de speculoos, et le cocktail Barbarose, un long drink sans alcool à déguster de 7 à 77 ans. Un produit de beauté Utilisez votre crème fraîche en guise de cosmétique économique et naturel ! Appliquée en massage sur le visage avec les mains puis rincée avec un coton imbibé de lotion, elle fait office de démaquillant de secours, tandis qu’un ingrédient exfoliant sucre en poudre, sel, marc de café, son d’avoine, noix de coco râpée… la transforme en doux gommage. Mélangée avec du miel en quantité égale et une touche de son d’avoine pour absorber les impuretés, elle se transforme enfin en masque adoucissant et gourmand. Crédit photo – CNIEL. À lire sur Oh My Milk La crème, la moins grasse des matières grasses À lire sur Oh My Milk Que faire avec de la crème allégée en matières grasses ? À lire sur Oh My Milk Que faire avec de la crème frangipane ? À lire sur Oh My Milk Que faire avec de la crème liquide ? 45 min Intermédiaire Même si les macarons semblent être une petite gourmandise française, ils tiendraient leur origine des pays arabes. C’est au cours de la Renaissance que ce petit biscuit a fait son arrivée en Europe. Déjà confectionné à partir de poudre d’amandes, de sucre et de blancs d'œuf, il n’était constitué que d’une seule coque. Ce n’est qu’au début du 19ème siècle qu’un célèbre pâtissier, Ladurée, façonne le macaron parisien, à double coque et garni d’une confiture ou d’une ganache. Aujourd’hui encore, les macarons à la vanille sont un succès auprès de tous les gourmands ! Pour la ganache 80 g chocolat blanc 75 g crème liquide 1 Gousse Vanille Pour les macarons 75 g Poudre d'amande 75 g Sucre glace 75 g Sucre en poudre 2 blancs d'oeuf 18 g Eau 1 Gousse Vanille 1 Commencez par préparer la ganache à la vanille. Coupez la gousse de vanille en deux dans la longueur. Grattez les graines à la pointe d’un couteau. Déposez la gousse et les graines de vanille dans une casserole. Versez-y la crème liquide et portez à ébullition sur feu doux. Ôtez la casserole du feu et laissez infuser pendant 30 minutes. Enlevez alors la gousse de vanille. Ajoutez le chocolat blanc cassé en morceaux. Faites à nouveau chauffer en mélangeant doucement pendant 5 minutes, jusqu’à ce que le chocolat soit fondu. Laissez refroidir. Couvrez de film alimentaire et laissez reposer au réfrigérateur pendant une nuit. 2 Le lendemain, préparez vos coques de macarons. Sortez les blancs d'œuf et laissez-les reposer à température ambiante. Mixez ensemble la poudre d’amandes et le sucre glace pendant 5 minutes pour obtenir une poudre très fine. Tamisez-les ensuite dans un saladier. 3 Dans une casserole, faites chauffer l’eau avec le sucre en poudre jusqu’à 118°C. Pendant ce temps, montez la moitié des blancs d'œuf en neige. Incorporez alors le sirop de sucre dans le bol du robot tout en continuant de monter les blancs en neige. Continuez de fouetter encore 5 minutes pour que la meringue italienne tiédisse. 4 Mélangez le reste des blancs d’oeuf à la poudre d’amandes et au sucre glace tamisés. Grattez les graines de la gousse de vanille et ajoutez-les à la préparation. Incorporez-y ensuite la meringue italienne petit à petit. Soulevez bien le mélange à l’aide d’une spatule pour que la pâte reste homogène, sans faire retomber la meringue. 5 Garnissez une poche à douille de la pâte à macarons. Dressez des disques d’environ 3 cm de diamètre sur une plaque de cuisson recouverte de papier sulfurisé. Veillez à bien les espacer car ils vont s’étaler un peu à la cuisson. Laissez reposer les macarons à température ambiante pendant au moins 30 minutes pour favoriser la formation de la collerette. 6 Préchauffez le four à 180°C. Lorsqu’il est bien chaud, faites cuire les macarons pendant 12 minutes. Sortez la plaque du four et laissez les macarons refroidir avant de les décoller du papier sulfurisé. 7 Lorsque les coques des macarons sont bien refroidies, procédez au montage. Mélangez doucement la ganache à la vanille pour l’assouplir légèrement. Déposez-la dans une poche à douille équipée d’une douille lisse de 12 mm de diamètre. Déposez de la ganache à la vanille au centre de la moitié des coques de macarons. Surmontez ensuite délicatement avec une autre coque de macaron vide. Appuyez légèrement pour coller les deux coques, tout en répartissant bien la ganache. Réservez les macarons à la vanille au réfrigérateur jusqu’au moment de servir. Une fois garnis, les macarons à la vanille doivent être dégustés dans les 4 jours. Conservez-les dans une boîte hermétique au réfrigérateur. Astuces Pour que les gousses de vanille diffusent bien leurs arômes, vous pouvez patienter 24h en stockant les macarons à la vanille au frais. Pour obtenir une coque de macarons avec une belle collerette, il est recommandé de laisser les blancs d'œuf maturer. Pour cela, séparez les blancs des jaunes d’oeuf au moins 24 heures avant de préparer les coques des macarons. Recettes similaires Haut de page

que faire avec un reste de ganache au chocolat