ONCHOISIT SES AMIS, PAS SA FAMILLE On ne choisit pas toujours sa famille, qu’on se le dise ! Toc toc toc ! Qui est là ? C’est ta sœur ! J’en ai pas Que tu crois ! Comment Luc, architecte de renom, hautain, classieux, aimant garder le contrôle sur tout, va t’il gérer le débarquement de Victoire, une sœurette envahissante et exubérante que même la génétique hésite à Onchoisit ses amis, pas sa famille T.01: Date de parution : mai 2012: Éditeur : LA PRESSE: Collection : WALTER: Pages : 132: Sujet : LITTÉRATURE JEUNESSE (QUÉBEC) ISBN : 9782897050702 (2897050705) Référence Renaud-Bray : 1407540: No de produit : 1407540: Droits numériques. Format : EPUB: Disponibilité : Non disponible au Canada, consultez la liste Onchoisit ses amis, pas sa famille - comédie De Bruno Gallisa. Avec Delphine Pradeilles et Bruno Gallisa | On ne choisit pas toujours sa famille, qu’on se le dise ! C’est l’amer constat que va faire Luc, architecte de renom, classieux, plutôt sûr de lui et aimant garder le contrôle sur tout ce qui l’entoure. Alors comment ce célibataire égoïste va-t-il gérer le débarquement Fast Money. On choisit ses amis... pas sa famille ! Marseille - Bouches-du-Rhône - Sorties Description On choisit ses amis... pas sa famille !13007 Marseille 7e ArrondissementOn choisit ses amis... pas sa famille !On ne choisit pas toujours sa famille, qu'on se le dise !On choisit ses amis... pas sa famille ! Marseille 7e Arrondissement 13, Bouches-du-Rhône, Provence-Alpes-Côte d'AzurSource - Ville de Marseille Horaires * Date du 04 novembre 2022 au 26 novembre 2022 * Les manifestations pouvant être supprimées, annulées, ajournées, prenez contact avec les organisateurs avant de vous déplacer. Lieu 13000 - Marseille - Le 16/19 Comédie Marseille 16 Quai de rive neuve 13007 Marseille 7e Arrondissement On choisit ses amis... pas sa famille ! Hôtels et locations proches. Réservez votre séjour Marseille maintenant! CONTENUS SPONSORISÉS La famille ? les amis ! Et si on décidait de changer le cours des choses ? Si on pouvait choisir sa famille ? Après tout, il y a dans la vie les constantes avec lesquelles on ne peut pas négocier et les variables que l’on ajuste à souhait… La preuve, on se choisit bien une famille le jour où l’on se marie et qu’on fait des enfants… Encore que ses enfants, on ne les choisit pas vraiment, tout au plus on décide d’en faire la décision étant plus souvent une initiative féminine que masculine, mais je traiterai ce sujet plus tard dans un autre article. Mais revenons à nos moutons… En ce qui me concerne, ma famille, j’ai décidé de la choisir, de me la composer comme j’en ai envie, et surtout comme elle correspond à mes attentes. D’accord, ce n’est pas simple à expliquer à son entourage surtout la “vraie” famille. Leur faire admettre qu’ils ne sont là que par la force des choses et pas par choix, ni le mien ni le leur n’est pas chose aisée, mais une fois qu’on s’est bien engueulé avec eux, tout devient plus facile. Partant donc du postulat que ma famille “de sang” ne me servait pas à grand chose, je les ai simplement supprimés de l’équation si mon prof de maths me voyait simplement supprimer les constantes, je pense qu’il m’égorgerait sur place 🙂 . Cette contrainte majeure étant traitée, il ne me restait plus qu’à me trouver une famille ou plutôt à me la construire. L’important est de ne pas se mettre la pression, ni s’imposer une deadline. La pression ne se subit pas, elle se boit !!! Prendre la vie comme elle vient et se contenter de ce qu’elle offre au fil des jours. C’est avec cette philosophie, sans rien attendre, en donnant sans rien demander en retour, que l’on fait des rencontres qui peuvent changer une vie. Donc une fois le ménage fait dans ma petite vie, j’ai construit des cercles concentriques le bon vieux concept de l’oignon, ça pique mais ça protège autour de moi dans lesquels chaque rencontre, bonne ou mauvaise trouve sa place. Celui que j’appellerai le “premier cercle” c’est la famille que je vais petit à petit me construire. Ils sont des hasards et des rencontres contre lesquels on ne peut rien ! Surtout lorsque l’on est enfant et que par essence on n’a aucune maîtrise sur les gens qui nous entourent. Cette phrase, tu l’as déjà entendue et réentendue. Ok. Mais que fait-on si, justement, on regrette de ne pas pouvoir choisir sa famille? On choisit ses amis, pas sa famille.» Cette petite phrase, a priori banale et vite dite, résume pourtant une idée importante et tout ce qu’il y a de plus difficile dans le fait d’avoir une famille – qu’elle soit recomposée, d’adoption ou de sang. Elle dit que le choix des amis, en principe, est un acte personnel, souvent fait souvent après avoir évalué les pours et les contres ou en faisant appel à notre ressenti. Alors que, en famille, nous sommes les conséquences» des choix d’autres, c’est-à-dire de nos parents ou nos tuteurs. Et peu importe ce que nous ferons, dirons ou choisirons, nous resterons de cette famille».Pour certains, avoir affaire à une famille imposée» est une chose particulièrement difficile à avaler, surtout quand la relation est fragile, tendue, voire inexistante. Que notre famille nous fasse souffrir, nous couvre de honte, nous interroge ou, dans le meilleur des cas, nous encombre parfois, nous connaissons tous -une fois ou l’autre- l’envie de se distancier de ceux qui la composent. Mais pas de panique si tu ressens cela. Ca peut arriver et Dieu le sait bien. Il suffit de lire les histoires bibliques de Jacob et Esaü, de Joseph, et même de Jésus pour voir que les difficultés familiales sont humaines et que Dieu fonctionne avec. Rappelons-nous les manigances de Rebecca contre son mari et fils aîné, les souffrances des frères de Joseph non préférés par leur père, les attentes de Marie et ses frères et sœurs sur Jésus. Bien que les contextes culturels de ces histoires soient bien différents du nôtre aujourd’hui, nous pouvons peut-être nous sentir rejoints par du poids à sa famille Pourtant, Dieu nous enseigne ceci dans la Bible Honore ton père et ta mère». Et il ne fait jamais mention de circonstances atténuantes», pour reprendre le vocabulaire juridique. Qu’est-ce que cela signifie donc? Comment honorer quelqu’un qui nous fait souffrir, dans l’ombre de qui nous sommes, ou qui nous désintéresse?En hébreu la langue originale de l’Ancien Testament, le terme utilisé pour honorer», contient le sens de alourdir, donner du poids à quelqu’un», ces qui est intéressant. Bien-sûr que Dieu nous demande d’aimer notre famille. C’est compris dans le commandement principal aime ton prochain comme toi-même». Et cela reste l’objectif vers lequel il faut tendre. Mais cet amour est composé de plusieurs facettes et l’une d’elle est honorer». La question qui mérite d’être posée est quel poids a ta famille dans ta vie? Quel poids donnes-tu à leurs besoins et demandes? Peut-être que les honorer commence tout simplement par te poser cette question, et l’avoir à l’esprit dans tes relations avec eux. Ainsi tu pourras entamer un chemin de prise en considération» de tes plus proches, chemin pour lequel tu auras besoin d’aide, que ce soit d’amis, de pasteurs ou parfois de psychologues, et assurément de souffrances comptent, et honorer» tes parents ne veut pas dire accepter tout ce qu’ils font, sans rien dire. Tu as le droit de te protéger et de reconnaître certaines de leurs actions, pour ce qu’elles sont maladroites, déplacées, voire même méchantes parfois. Cependant, n’oublie pas que toi aussi tu es humain. Vivre une injustice ne justifie pas de leur en faire vivre en retour. Tes parents ont aussi leur lot de souffrances. Et s’ils ne peuvent pas être pardonnés aujourd’hui par toi, peut-être qu’ils peuvent être un petit peu plus compris… Leur donner du poids», c’est faire un pas dans leur direction. Même s’il te semble très petit, un pas reste un mouvement, et qui dit mouvement dit possibilité de relation. Et si on essayait? Par Nathalie Schmid Just4U Article tiré du numéro Just 4U n°73 – Janvier – Mars 2018

on choisit ses amis pas sa famille